Quand nous sommes rentres sous la tente invites par les habitants du quartier, le mariage battait son plein.
Une foule de 400 personnes assise sur des coussins de velours rouge aux motifs orientaux, les musiciens jouaient les airs traditionnels, les danseurs tournaient en rond devant le marie coiffe d’un turban dore et dote d’un poignard flambant neuf.
L’atmosphère était charge de fume de cigarette et de l’odeur particulière du qat, la joue de tous les hommes gonflée à bloc par une boule énorme de qat qui laisser apparaitre aux coins de leur lèvre cette couleur verte fluorescente.
C’était notre dernier soir à Sanaa avant de partir pour les montagnes. Je n’ai vu réellement Sanaa que le lendemain de mon arrive quand je suis monté sur le toit de l’hôtel. C’est ville réellement exceptionnelle et on comprend pourquoi l’Unesco la classer dans sa totalité.
Les maisons de 4 à 5 étages sont construites en brique rose, les façades sont décorées à la chaux et les fenêtres surélevées de vitraux aux couleurs vives. Les ruelles laissent découvrir de jolies places agrémentées de palmiers, les mosquées sont aux dimensions modestes mais très élégantes. C’est vraiment un endroit unique.
Les hommes de cette ville sont très accueillants comme cette invitation au mariage le prouve, mais ils sont très discrets et laissent les touristes flâner dans les rues et les échoppes sans les oppresser. Nous avons donc profiter de ces ruelles, manger dans les échoppes des Salta, plat de viande traditionnel, sorte de ragout d’agneau recouvert d’une mousse verte de fenugrecs, manger des tranches de pastèques chargées de sucres, sentis les parfum de myrtes, d’encens et de santal. Nous sommes aussi lavés dans un hammam vieux de 500 ans au moins avec les recommandations des yéménites venus en famille.
Les femmes ne sont que des ombres noires. Apres quelques jours, on finit par croiser des regards aux maquillages très noirs, repérer des chaussures aux talons aiguilles ou des mains particulièrement fines mais je reste profondément gêné par cette coutume que les jeunes yéménites déplorent mais reproduiront certainement avec leurs propres filles. C’est dommage, il parait qu’elles sont très belles. Nous aurons juste la chance d’en apercevoir une quelques secondes, et en effet, elles a avait un beau visage avec des yeux gris en amandes.
Un yéménite ne connait que sa mère et ses sœurs, la vue d’un visage au hasard d’une ruelle, les rendent fous comme ils s’amusent à le dire. Pour se marier ils attendent d’avoir amasser une somme énorme pour eux (6000$) pour payer les bijoux servant d’assurance en cas de répudiation, pour payer le père de la marie et pour financer la fête. Ils attendent parfois jusqu'à 35 ou 40 ans pour se marier avec une enfant de 15 ans à qui ils feront en moyenne 7 enfants. Le maximum que nous ayant rencontre est 26 enfants avec la même femme. Les jeunes parlent de faire 2 enfants maximum mais comme ils le disent eux même leur amis marie n’ont jamais respecté ce souhait.
Il n’y avait donc pas de femmes dans ce mariage à l’exception de deux touristes hollandaises de 60 ans. L’ambiance était amusante et cordiale, Lionel et moi avons été particulièrement bien accueillis, on nous a offert qat et cigarettes et eau tout la soirée. Le lendemain nous étions morts de fatigues par une nuit d’insomnie due au qat.
Une foule de 400 personnes assise sur des coussins de velours rouge aux motifs orientaux, les musiciens jouaient les airs traditionnels, les danseurs tournaient en rond devant le marie coiffe d’un turban dore et dote d’un poignard flambant neuf.
L’atmosphère était charge de fume de cigarette et de l’odeur particulière du qat, la joue de tous les hommes gonflée à bloc par une boule énorme de qat qui laisser apparaitre aux coins de leur lèvre cette couleur verte fluorescente.
C’était notre dernier soir à Sanaa avant de partir pour les montagnes. Je n’ai vu réellement Sanaa que le lendemain de mon arrive quand je suis monté sur le toit de l’hôtel. C’est ville réellement exceptionnelle et on comprend pourquoi l’Unesco la classer dans sa totalité.
Les maisons de 4 à 5 étages sont construites en brique rose, les façades sont décorées à la chaux et les fenêtres surélevées de vitraux aux couleurs vives. Les ruelles laissent découvrir de jolies places agrémentées de palmiers, les mosquées sont aux dimensions modestes mais très élégantes. C’est vraiment un endroit unique.
Les hommes de cette ville sont très accueillants comme cette invitation au mariage le prouve, mais ils sont très discrets et laissent les touristes flâner dans les rues et les échoppes sans les oppresser. Nous avons donc profiter de ces ruelles, manger dans les échoppes des Salta, plat de viande traditionnel, sorte de ragout d’agneau recouvert d’une mousse verte de fenugrecs, manger des tranches de pastèques chargées de sucres, sentis les parfum de myrtes, d’encens et de santal. Nous sommes aussi lavés dans un hammam vieux de 500 ans au moins avec les recommandations des yéménites venus en famille.
Les femmes ne sont que des ombres noires. Apres quelques jours, on finit par croiser des regards aux maquillages très noirs, repérer des chaussures aux talons aiguilles ou des mains particulièrement fines mais je reste profondément gêné par cette coutume que les jeunes yéménites déplorent mais reproduiront certainement avec leurs propres filles. C’est dommage, il parait qu’elles sont très belles. Nous aurons juste la chance d’en apercevoir une quelques secondes, et en effet, elles a avait un beau visage avec des yeux gris en amandes.
Un yéménite ne connait que sa mère et ses sœurs, la vue d’un visage au hasard d’une ruelle, les rendent fous comme ils s’amusent à le dire. Pour se marier ils attendent d’avoir amasser une somme énorme pour eux (6000$) pour payer les bijoux servant d’assurance en cas de répudiation, pour payer le père de la marie et pour financer la fête. Ils attendent parfois jusqu'à 35 ou 40 ans pour se marier avec une enfant de 15 ans à qui ils feront en moyenne 7 enfants. Le maximum que nous ayant rencontre est 26 enfants avec la même femme. Les jeunes parlent de faire 2 enfants maximum mais comme ils le disent eux même leur amis marie n’ont jamais respecté ce souhait.
Il n’y avait donc pas de femmes dans ce mariage à l’exception de deux touristes hollandaises de 60 ans. L’ambiance était amusante et cordiale, Lionel et moi avons été particulièrement bien accueillis, on nous a offert qat et cigarettes et eau tout la soirée. Le lendemain nous étions morts de fatigues par une nuit d’insomnie due au qat.
1 commentaire:
suis vraiment bluffé, magnifique voyage ....
seb
Enregistrer un commentaire